Psychotropes : Les jeux pathologiques - Décembre 2015
Psychotropes : Les jeux pathologiques. Éditorial. Dans les structures spécialisées, les demandes d’aide ayant pour objet d’addiction, le jeu, sont de plus en plus fréquentes. Voilà bientôt huit ans que nous n’avions consacré de dossier au jeu [1] qu’il s’agisse de sa clinique, de sa prise en charge ou de son impact socio-économique.
Nous avons donc décidé d’aborder ce thème en profitant de la tenue de la journée scientifique, « Fonctions des jeux aux différents âges de la vie : du normal au pathologique », organisée le 6 juin 2015 par Céline Bonnaire, Maître De Conférences, et Isabelle Varescon, Professeure et directrice du Laboratoire de Psychopathologie et Processus de Santé (LPPS, EA 4057) de l’Université Paris Descartes, colloque que nous avons complété par des textes qui nous ont été proposés de façon spontanée.
Les jeux, qu’ils soient pathologiques ou normaux et sociaux chez « l’homo ludens », pour reprendre la terminologie du philosophe Johann Huisinga, sont l’objet d’études de plus en plus nombreuses depuis une quarantaine d’années. Sylvain MOUTIER nous montre que les adultes dans certains « contextes pièges » répondent de façon irrationnelle signant par là même l’implication des systèmes émotionnels et exécutifs qui sous-tendent la prise de décision.
Nous avons donc décidé d’aborder ce thème en profitant de la tenue de la journée scientifique, « Fonctions des jeux aux différents âges de la vie : du normal au pathologique », organisée le 6 juin 2015 par Céline Bonnaire, Maître De Conférences, et Isabelle Varescon, Professeure et directrice du Laboratoire de Psychopathologie et Processus de Santé (LPPS, EA 4057) de l’Université Paris Descartes, colloque que nous avons complété par des textes qui nous ont été proposés de façon spontanée.
Les jeux, qu’ils soient pathologiques ou normaux et sociaux chez « l’homo ludens », pour reprendre la terminologie du philosophe Johann Huisinga, sont l’objet d’études de plus en plus nombreuses depuis une quarantaine d’années. Sylvain MOUTIER nous montre que les adultes dans certains « contextes pièges » répondent de façon irrationnelle signant par là même l’implication des systèmes émotionnels et exécutifs qui sous-tendent la prise de décision.